Le scandale ne se niche pas là où les médias le désignent. Le scandale, est-ce seulement la chemise déchirée d’un haut cadre, payé pour réduire à néant la vie de milliers de travailleurs et de leur famille. Ces dirigeants pensaient-ils qu’ils allaient être applaudis en se pointant, la bouche en cœur, pour annoncer 2900 licenciements ?

N’est-ce pas là où se niche le scandale, dans ce plan dit de restructuration, dans ces 2900 licenciements, dans ces 2900 vies brisées par une simple lettre recommandée ?

Des salariés ont été mis en garde à vue. Comme pour des grands délinquants, la police est allée les chercher chez eux à 6 heures du matin, devant leurs familles. Certaines personnalités qui ont fait des choses plus graves répondent à de simples convocations en s’y rendant avec leur chauffeur.

Choquant ? Vous avez dit « choquant » ?

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L’expression des élus du groupe « Pour Harnes, l’Humain d’Abord ! » publiée dans LA GAZETTE HARNESIENNE (magazine d’information de la ville de Harnes) est limitée à 970 caractères (espaces compris) par décision de Philippe Duquesnoy et des élus majoritaires, lesquels, dans un élan de mansuétude, avec un grand respect des groupes minoritaires et d’une “soi-disant” démocratie locale, leur attribuent un espace proportionnel à leur nombre d’élus.