J’ai appris avec beaucoup de tristesse le décès de Marius, le bon et fidèle copain de mon père dont il ne manquait jamais d’évoquer la mémoire chaque fois que nous nous rencontrions. Il habitait non loin de chez nous…et j’ai l’impression de l’avoir toujours connu. Marius était toujours là pour aider les autres. Il avait toujours quelque chose à la main, un tract qu’il distribuait, un journal – La Tribune de Mineur–qu’il déposait chez les retraités ou un outil, râteau ou bèche, c’était un jardinier infatigable. Je n’oublierais jamais son sourire, sa gentillesse et sa grande tolérance pour ceux qui ne partageaient pas entièrement les mêmes convictions que les siennes. C’est une bien belle personne qui nous quitte.
J’ai appris avec beaucoup de tristesse le décès de Marius, le bon et fidèle copain de mon père dont il ne manquait jamais d’évoquer la mémoire chaque fois que nous nous rencontrions. Il habitait non loin de chez nous…et j’ai l’impression de l’avoir toujours connu. Marius était toujours là pour aider les autres. Il avait toujours quelque chose à la main, un tract qu’il distribuait, un journal – La Tribune de Mineur–qu’il déposait chez les retraités ou un outil, râteau ou bèche, c’était un jardinier infatigable. Je n’oublierais jamais son sourire, sa gentillesse et sa grande tolérance pour ceux qui ne partageaient pas entièrement les mêmes convictions que les siennes. C’est une bien belle personne qui nous quitte.