MANUEL VALLS a de nouveau choisi l’épreuve de force en portant atteinte aux libertés publiques. Même dans la tourmente de MAI 68, il n’avait pas été question d’interdire de manifester. La rupture des gouvernants avec le peuple est à son comble.

Cette affaire signe la dérive autoritaire du pouvoir qui s’est accentuée à chaque étape du refus par l’opinion de la loi travail : pas de négociation préalable avec les confédérations syndicales, usage du 49-3, stigmatisation de la CGT, refus de tenir compte de l’hostilité majoritaire du pays,…

Elle témoigne enfin du renoncement par les gouvernants socialistes de ce qui fait le cœur de l’identité du peuple de gauche : progrès social, défense acharnée des libertés, soutien aux protestations populaires, quête d’une égalité émancipatrice.

Comment ne pas s’interroger devant ce naufrage alors que FRANCOIS HOLLANDE cherche à se refaire une virginité par des primaires SANS SAVEUR et SANS VALEUR ?

www.lhumaindabord-harnes.fr

juillet2016

L’expression des élus du groupe « Pour Harnes, l’Humain d’Abord ! » publiée dans LA GAZETTE HARNESIENNE (magazine d’information de la ville de Harnes) est limitée à 970 caractères (espaces compris) par décision de Philippe Duquesnoy et des élus majoritaires, lesquels, dans un élan de mansuétude, avec un grand respect des groupes minoritaires et d’une « soi-disant » démocratie locale, leur attribuent un espace proportionnel à leur nombre d’élus.